Gastronomie en Gironde

On préfère vous faire saliver encore un peu.


La page Gastronomie sera bientôt disponible.

Master article départements

Éléments d’histoire de la Dordogne


De l’homo erectus à l’addict iPhonus, la Dordogne est le témoin privilégié de notre très longue histoire.

C’est en vallée d’Ossau que tout commença…

Ce climat montagnard, les bergers de la vallée d’Ossau le subissent depuis des siècles. « Les bergers partaient en estive avec leurs moutons, qui fournissaient la laine nécessaire à la fabrication de ce couvre-chef. Il ne fallait pas attraper froid. Et leurs guêtres ne protégeaient pas la tête » précise Évelyne Bétachet, chapelière à Bayonne, au journal Sud-Ouest (17/08/2017).

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La Chalosse : petit paradis discret

Richesses du Sud-Ouest Pays & Territoires Landes

La Chalosse : petit paradis discret


Située au Sud du département des Landes, à la naissance du Béarn, la Chalosse préserve son intimité depuis des siècles, peut-être pour protéger ses paysages contrastés, son patrimoine précieux et sa douceur de vie.

Ô calme, ô volupté – Crédit photo: Office de tourisme Landes Chalosse

Lorsque s’efface la forêt des Landes de Gascogne

« Demandez à un Français ce qu’est la Chalosse, vous ne recevrez point de réponse, pas même d’un méridional. » Extraite d’un article publié en 1935 dans la Revue du Touring Club de France, cette phrase susciterait sans nul doute la même interrogation aujourd’hui.

De fait, la Chalosse a toujours su s’entourer d’une certaine discrétion. Pour la découvrir, il convient de quitter la vaste forêt des Landes de Gascogne, symbole de l’identité landaise, et d’emprunter la direction du Béarn, là où se dessinent les premières collines pré-pyrénéennes. 

S’il n’a jamais bénéficié de contours officiels ni même historiques, le pays de Chalosse s’étire au Nord jusqu’à l’Adour, se perd non loin de Dax à l’Ouest, s’ouvre aux vignes de Tursan à l’Est et, enfin, devient Béarn au Sud.

Ici, les célèbres pins maritimes ne composent plus un décor monotone et presque infini. La Chalosse tire sa beauté de la diversité de ses paysages, constitués de coteaux adoucis, de forêts, de prairies, de champs et de vignobles que découpent les rivières.

« Le paysage n’est jamais le même ; il se fond, se contracte ou s’étale suivant l’inclinaison du soleil. Horizons infinis qui se perdent dans le rêve, la méditation. Paysages mouvants, mais aussi merveilleusement composés qui ravissent peintres et poètes » écrit, inspirée, Michèle Barrault, dans son ouvrage Les Landes (Collection Découverte, Éditions Beba, 1988).

La Chalosse se caractérise aussi par les bocages, qui ajoutent une note bucolique au panorama à travers la multitude de bosquets et de haies entre les champs de maïs, les prairies artificielles et les landes d’ajoncs. Les interminables plages landaises semblent bien lointaines à quiconque admire la vallée de l’Adour depuis les belvédères de Montfort-en-Chalosse et de Mugron.

Un pays riche d’une (très) longue histoire

La Chalosse a accueilli les hommes dès le Paléolithique supérieur (de -4000 à 9500) comme en témoignent les outils en silex et en os, ainsi que diverses parures, retrouvés dans la grotte du Pape, à Brassempouy. Le lieu jouit d’une renommée mondiale depuis la découverte, en 1894, de neuf figurines en ivoire de mammouth, dont la célèbre « Dame à la capuche ». Le précieux objet, d’une hauteur de 3,65 cm, est considéré comme l’une des plus anciennes représentations du visage humain.

La célèbre statuette de la dame de Brassempouy – Crédit photo : Jean-Gilles Berizzi

À l’époque gallo-romaine, le terroir profite de la richesse de ses sols pour permettre une activité agricole intense. La culture du blé, du lin, du seigle, puis plus tard du maïs, assure l’approvisionnement des cités alentours, notamment celle de Dax, très fréquentée grâce à ses sources thermales.

Surtout, les coteaux ensoleillés se prêtent parfaitement bien à la plantation et au développement de la vigne. Au fil des siècles, le vin s’impose comme la ressource principale de la Chalosse.

De fait, grâce à son activité agricole séculaire, la Chalosse a accueilli une population importante, essentiellement partagée entre les propriétaires terriens, issus de la petite noblesse ou de la bourgeoisie, et les paysans. Dans leur immense majorité, les fermiers dépendaient du métayage pour survivre. Le terroir se compose d’ailleurs d’une multitude de petites exploitations. « La Chalosse était à la fois un pays riche par ses terres et pauvre par les gens qui y résidaient » précise avec justesse le site Terres de Chalosse.

Le métayage a perduré jusque dans les années 1920, lorsque les paysans se révoltent, excédés par leurs conditions précaires.

Aujourd’hui, les petites fermes composent toujours le paysage chalossais, dispatchées entre les villages et monuments moyenâgeux, qui participent eux aussi au charme de ce pays préservé.

L’attrait du patrimoine et du mode de vie

Édifice emblématique de la Chalosse, l’abbaye de Saint-Sever fut fondée à la fin du 10e siècle par Guillaume Sanche, comte de Gascogne. L’église abbatiale a été classée monument historique en 1911 puis inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.

L’église a conservé un magnifique chevet à sept absides (tête de l’église, l’extrémité du côté de l’autel, lorsque cette extrémité est de plan arrondi ou polygonal) échelonnées, la forme la plus courante n’en proposant que trois. Autre particularité : les 77 chapiteaux et le tympan nord, véritable chef-d’œuvre du 11e siècle. La surface, qui fut l’une des toutes premières de l’art roman à être sculptée, représente une scène tirée de l’Apocalypse, dernier livre du Nouveau Testament.

Parmi les autres monuments religieux, l’abbaye d’Arthous (et son espace d’exposition) ou encore l’abbaye de Sordes, à l’architecture impressionnante, méritent amplement le coup d’œil.

Les visiteurs tombés amoureux de l’endroit ne manqueront pas de fréquenter le musée de la Chalosse, qui propose un parcours immersif. C’est l’occasion rêvée de s’imprégner des paysages, des cultures et de la douceur de vie de ce pays que l’on dit salubre.

La Chalosse tire aussi son charme de ses petits bourgs, édifiés au Moyen-Âge sur des sites perchés pour faciliter leur défense. En leur cœur, les communes typiques accueillent l’incontournable arène, dédiée à la course landaise, la place du foirail sur laquelle se tient le marché, le terrain de rugby et bien sûr l’église romane. Peu visitées, les églises chalossaises révèlent pourtant des trésors grâce à leurs chapiteaux naïfs, leur nef colorée ou encore leurs Vierges polychromes.

Le chevet de l’abbatiale de Saint-Sever – Crédit photo : Ville de Saint-Sever – CC BY-SA 4.0

L’héritage agricole s’est bien sûr accompagné d’une riche tradition culinaire. Les habitants du terroir de la Chalosse aiment le plaisir de la table et savent y contribuer. À travers une cuisine simple, le bœuf de Chalosse, le canard gras ou la truie gasconne régalent les familles depuis des siècles. On étanche sa soif en profitant d’un vin des côteaux-de-Chalosse, ce qui n’empêche pas de se tourner vers le Tursan ou le Madiran. Le premier, doté d’une IGP, s’invite souvent à l’apéritif alors que le second s’avère puissant et racé en bouche.

Mais que voir et que faire en Chalosse ?

Le pays peut représenter une destination de vacances opportune, à l’abri du tourisme de masse et à toute proximité de ses habitants. C’est la garantie d’un séjour dépaysant, serein, gourmand et réconfortant.

Pour ressentir l’esprit de la Chalosse, pourquoi ne pas emprunter, sur quelques kilomètres, l’un des deux chemins du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle ? La voie limousine traverse les villages de Saint-Sever, Audignon, Horsarrieu, Hagetmau, Argelos et Beyries, que séparent de magnifiques paysages. La voie du Puy-en-Velay mène les marcheurs vers les communes de Miramont-Sensacq et de Pimbo.

D’autres possibilités de randonnée s’offrent au public, notamment celle de la Voie Verte, ancienne voie ferrée réaménagée. Elle permet de belles et longues promenades à pied, en VTT ou à dos de cheval.

La Voie Verte serpente entre les arbres – Crédit photo : Tourisme Landes

Bien sûr, le patrimoine local représente une multitude d’opportunités de découverte. Montfort-en-Chalosse, Saint-Sever, Mugron, Samadet, Amou, Pimbo ou encore Castelnau-Tursan… Autant de villages, souvent médiévaux et souvent haut perchés, qui ne demandent qu’à être découverts. Les amateurs de course landaise ne manqueront de se rendre à Pomarez, considéré comme la Mecque de la discipline.

La Chalosse, ce sont aussi des abbayes, des châteaux et des manoirs qui parsèment le paysage, sans même évoquer les maisons de maître, typiques de la région.

En période printanière et tout au long de l’été, les activités se multiplient : baignade dans les six piscines de la région, plaisir du canoë sur l’Adour, pêche à la ligne sur les berges des rivières Adour, les Gaves ou le Luy, initiation au jeu de quilles traditionnel, relaxation totale aux thermes de Préchacq-les-Bains.

Ne pas évoquer le sens de la fête constituerait une erreur impardonnable. Comme dans l’ensemble des Landes, les ferias dictent la vie nocturne de bon nombre de communes, où bodegas et bandas promettent une ambiance haute en décibels.

Enfin, entre les producteurs locaux (dont les éleveurs de poulet de Saint-Sever), les marchés et les bons petits restaurants, il est à parier que le temps passé à table grignotera joyeusement les après-midi et soirée.

Mais n’est-ce pas finalement la philosophie de ce petit territoire discret, tout entier dédié à la douceur de vie ?


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Master article 2

A la recherche du temps perdu dans les Landes


Exutoire de l’étang de Léon, à l’ouest du département des Landes, le courant d’Huchet se faufile à travers un paysage amazonien jusqu’à l’océan Atlantique.

Crédit photo : Maison Lillet – Facebook

Comme un sentiment hors du temps

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A la recherche du temps perdu dans les Landes


Exutoire de l’étang de Léon, à l’ouest du département des Landes, le courant d’Huchet se faufile à travers un paysage amazonien jusqu’à l’océan Atlantique.

Comme un sentiment hors du temps

Bien naïf celui qui considère les Landes comme une interminable et monotone forêt de pins. Le département regorge de petits territoires singuliers et discrets, souvent éloignés des vagues de touristes, qui contribuent à sa richesse.

Le courant d’Huchet est l’un de ceux-là, même s’il bénéficie d’une notoriété aujourd’hui bien établie. L’endroit suscite il est vrai l’admiration de ses visiteurs depuis déjà de nombreuses décennies. Ainsi, le journaliste Gilles Charles laisse parler son émotion dans le supplément littéraire du Figaro paru le 16 octobre 1921 : « Mais l’on rechercherait vainement ici les molles harmonies des paysages de la Loire et si l’on peut découvrir une harmonie profonde, elle ne manque pas d’une certaine violence. Tant il y a que l’étang de Léon est étrangement séduisant. Et si le courant d’Huchet ne peut vous émouvoir, c’est à désespérer. Imaginez un minuscule cours d’eau qui serpente entre des rives boisées, si minuscule à certains endroits que la barque la plus étroite y passe à grand-peine. Et ce ruisseau forme des criques, de petites anses où la lumière s’opalise dans l’ombre verte des feuillages, où, sur l’eau dormante, s’épanouissent les fleurs des nénuphars, les fougères royales et les hibiscus nuancés. »

La découverte du lieu reviendrait au poète italien Gabriele d’Annunzio en 1908, mais il est fort probable que les habitants de cette partie du littoral le connaissaient depuis fort longtemps. Le Pays de Born et du Marensin laisse d’ailleurs voir d’autres courants, ou petits fleuves côtiers. Tous jouent le rôle d’exutoire des étangs et permettent de drainer les sols sableux.  Ils se jettent dans l’océan Atlantique en franchissant les dunes par une embouchure, ce qui les soumet d’ailleurs au mouvement des marées dans leur partie aval.

Pour sa part, l’embouchure du courant d’Huchet n’a jamais été stabilisée par des travaux d’endiguement. Force est de constater que parmi les fleuves côtiers de cette partie des Landes, il s’impose comme le plus somptueux et remarquable. La richesse de son environnement lui vaut d’être classé dès 1934 au titre des monuments naturels et des sites à caractère artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque.

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La beauté des Landes dans le reflet de l’eau

Le courant d’Huchet est l’un de ceux-là, même s’il bénéficie d’une notoriété aujourd’hui bien établie. L’endroit suscite il est vrai l’admiration de ses visiteurs depuis déjà de nombreuses décennies. Ainsi, le journaliste Gilles Charles laisse parler son émotion dans le supplément littéraire du Figaro paru le 16 octobre 1921 : « Mais l’on rechercherait vainement ici les molles harmonies des paysages de la Loire et si l’on peut découvrir une harmonie profonde, elle ne manque pas d’une certaine violence. Tant il y a que l’étang de Léon est étrangement séduisant. Et si le courant d’Huchet ne peut vous émouvoir, c’est à désespérer. Imaginez un minuscule cours d’eau qui serpente entre des rives boisées, si minuscule à certains endroits que la barque la plus étroite y passe à grand-peine. Et ce ruisseau forme des criques, de petites anses où la lumière s’opalise dans l’ombre verte des feuillages, où, sur l’eau dormante, s’épanouissent les fleurs des nénuphars, les fougères royales et les hibiscus nuancés. »

La découverte du lieu reviendrait au poète italien Gabriele d’Annunzio en 1908, mais il est fort probable que les habitants de cette partie du littoral le connaissaient depuis fort longtemps. Le Pays de Born et du Marensin laisse d’ailleurs voir d’autres courants, ou petits fleuves côtiers. Tous jouent le rôle d’exutoire des étangs et permettent de drainer les sols sableux.  Ils se jettent dans l’océan Atlantique en franchissant les dunes par une embouchure, ce qui les soumet d’ailleurs au mouvement des marées dans leur partie aval.

Pour sa part, l’embouchure du courant d’Huchet n’a jamais été stabilisée par des travaux d’endiguement. Force est de constater que parmi les fleuves côtiers de cette partie des Landes, il s’impose comme le plus somptueux et remarquable. La richesse de son environnement lui vaut d’être classé dès 1934 au titre des monuments naturels et des sites à caractère artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque.


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Produits de Nouvelle-Aquitaine : la quête du bon

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site des produits de nouvelle aquitaine

Site: Produits de Nouvelle-Aquitaine

URL: www.produits-de-nouvelle-aquitaine.fr

Facebook : www.facebook.com/lesproduitsdenouvelleaquitaine

« En Nouvelle-Aquitaine, nous pouvons être fiers de proposer aux consommateurs des produits de qualité, issus de savoir-faire authentiques, qui ont du caractère, et dont certains sont connus et reconnus dans le monde entier. Des produits qui font le socle de notre gastronomie française et qui portent haut et fort l’identité de leur territoire. » C’est en ces quelques mots que Jean-Pierre Raynaud, Président de l’Agence de l’Alimentation Nouvelle-Aquitaine (AANA), présente la mission de son organisme.

Les chiffres sont éloquents. La Nouvelle-Aquitaine, première région de France et d’Europe en surface agricole utile, regroupe 54 683 exploitations et concerne près de 345 000 emplois. L’AANA profite de ce dynamisme pour privilégier des valeurs traditionnelles, sociétales, environnementales et humaines. On y retrouve par exemple celles liées à l’authenticité, comme le goût, le savoir-faire ou les paysages, et celles se consacrant à la fierté, à l’image de l’ancrage local, du patrimoine et la transmission.

L’agence attache une importance particulière aux démarches de qualité les plus appropriées, avec le souhait d’accroître la compétitivité économique des producteurs tout en valorisant le territoire. Ainsi, Thierry Lafon, Président du Comité régional de la conchyliculture du Bassin d’Arcachon, explique que l’AANA a pu accompagner les ostréiculteurs soucieux de se fédérer pour valoriser leurs productions.

L’AANA est également à l’origine de la démarche collective multifilières Ecoqualina, qui vise à développer l’écoconception des filières de qualité en intégrant de nouveaux critères d’amélioration de la performance environnementale.

Le site web relate bien sûr les différentes missions de l’agence, mais sait aussi se montrer gourmand en listant les produits emblématiques ou plus discrets qui contribuent à la réputation régionale. Ainsi, le cabécou du Périgord, la jonchée d’Aunis ou l’Ossau-Iraty (fromages), les kiwis de l’Adour, les tomates de Marmande (fruits), le bœuf de Bazas, le dindon de Varaignes et le porc gascon (viandes) font l’objet d’une fiche descriptive précise. La liste n’est pas exhaustive.

Cerise (d’Itxassou) sur le gâteau (saintongeais), le site publie de nombreuses recettes à préparer selon les produits de la Nouvelle-Aquitaine. Franchement, comment résister à une Caesar salad du Sud-Ouest, préparée à base de volaille des Landes, de tomates de Marmande et de fromage d’Ossau-Iraty ?

Essai Gutenberg

À quelques kilomètres au sud de Condom, dans le Gers, le village de Saint-Puy profite d’une vue exceptionnelle. Juché sur une colline, il accueille le château de Monluc, dont la première pièce fut posée il y a près de dix siècles.  L’édifice a bravement traversé les péripéties de l’Histoire. Il subit pourtant les assauts du comte d’Armagnac en 1272, qui l’assiégea et le brûla en partie après le refus du Comte de Gaure de le lui céder. Fort heureusement, le château fut reconstruit sous l’impulsion du roi de France, Philippe le Hardi.

Le joli château de Monluc, dans le gers.

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Fest’Oie

[button link= »https://www.francesudouest.com/agenda/ » color= »vertfso »]Agenda[/button]

Fête


Du 5 au 6 mars 2022.

Lieu :
Rues de Sarlat.

Contact:
Tél. 05 53 31 45 45

Infos: 
www.sarlat-tourisme.com

Horaires:
Le 5 mars 2022 de 15:30 jusqu’à 17:00
Le 6 mars 2022 de 10:30 jusqu’à 12:00 et de 15:00 jusqu’à 16:30

Tarifs :
Plein tarif: 7,50 €
Tarif réduit: 4,50 €

 

Le 1er week-end de mars, vous allez aimer Sarlat !
Bandas, gastronomie et animations… Ici, on célèbre l’Oie du Périgord sous le signe de la bonne humeur !

Dans la ville de La Boëtie, c’est jour de fête. Les rues s’animent autour de l’oie. Quelle belle aubaine pour déambuler dans ces lieux où l’architecture évolue du Moyen Age jusqu’à nos jours. Venant des cuisines, de bons effluves de mets nous donnent aussi l’occasion d’évoquer la richesse gastronomique de Sarlat et du Périgord Noir.

Programme 2002:

Samedi 5 mars :

14h à 15h30 : Chasse au trésor 
Départ Office de tourisme – (Equipe de 6 pers. maximum)
Gratuit sur réservation au 05 53 31 45 45

14h30 et 16h30 : Visites de ferme chez Florian Boucherie à Prats de Carlux.
Florian Boucherie et sa famille vous accueillent dans leur ferme à Prats-de-Carlux : 1h de visite suivie d’une dégustation de leurs produits.
Gratuit, sur réservation au 05 53 31 45 45. Places limitées.

14h30 et 16h30 : Ateliers de cuisine
Boutique  » L’Oie aux Pruneaux  » Av. Joséphine Baker
Gratuit, sur réservation au 05 53 31 45 45. Places limitées.

14h30 et 16h30 : Visites de ferme et ateliers autour du foie gras à Paulin
Jean-Pierre et Maryline Dubois vous ouvrent les portes de leur ferme à Paulin et vous proposent un atelier pour apprendre à préparer votre foie gras.
Gratuit, sur réservation au 05 53 31 45 45. Places limitées.

15h30 : Visite guidée de la ville
Patrimoine & Gastronomie (7.50 €).
Départ devant l’Office de tourisme, rue Tourny.

15h45 : Visite de ferme à Domme
Chez Alain et Sylvain Germain à la Ferme de Turnac à Domme1. 1h30 de visite avec dégustation de produits de la ferme.

19h : Bodég’oie
Grande soirée festive sur la place de la Liberté animée par 2 bandas. Des assiettes FEST’OIE composées de saucisson, magret séché, rillettes et aiguillettes d’oie et accompagnées des célèbres pommes de terre sarladaises seront servies toute la soirée. Vous retrouverez également des assiettes de fromage, du vin de Bergerac et de la bière locale, servis sous chapiteaux chauffés.
Une soirée à ne pas manquer !

Dimanche 6 mars :

Pour les enfants, des jeux anciens de la Ringueta et des ateliers créatifs sur le thème de l’oie (gratuit) tout au long de la journée

Dès 9h : Marché primé au gras et stands de conserveurs 100% oie du Périgord
Sur la Place de la Liberté.

10h à 12h : Chasse au trésor
Départ Office de tourisme – (Equipe de 6 pers. maximum)
Gratuit sur réservation au 05 53 31 45 45

10h30, 12h30 et 15h : démonstrations de découpe d’oie
sur le parvis de la Mairie, Place de la Liberté

10h30 et 15h30 : Visite guidée de la ville
Patrimoine & Gastronomie (7.50 €).
Départ devant l’Office de tourisme, rue Tourny.

11h : Remise des prix du marché primé au gras
Parvis de la Mairie

A partir de 12h : Casse-croûte périgourdin
Dégustez en famille des assiettes FEST’OIE accompagnées de pommes de terre sarladaises

14h à 15h30 : Chasse au trésor 
Départ Office de tourisme – (Equipe de 6 pers. maximum)
Gratuit sur réservation au 05 53 31 45 45

PresseLib’, média local et indépendant

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Loin des grands médias généralistes régionaux, PresseLib’ revendique crânement son indépendance et sa ligne éditoriale, tout entière dédiée à l’information locale. Le site porte son attention aux acteurs locaux qui s’impliquent dans l’économie, la vie associative, la passion culturelle ou encore l’entrepreneuriat.

Ainsi, la rubrique « Créateurs et Passionnés » se penche au quotidien sur les entrepreneurs qui multiplient les initiatives.

On découvre par exemple le parcours de Thomas et Anthony Chenut, deux frères palois installés à Bègles, concepteurs d’un triporteur électrique. Leur entreprise, VUF Bikes, commercialise désormais le fruit de leur créativité, en profitant du regain d’intérêt des professionnels (livreurs, artisans, agents des collectivités…) pour ce nouveau mode de transport agile et écolo.

C’est aussi l’histoire d’Hannah Moncot, gérante d’une épicerie d’aliments en vrac, installée à Saint-Jean-de-Luz. Adepte du zéro déchet, la jeune femme privilégie le circuit court et propose aujourd’hui 450 références.

PresseLib’ s’attache aussi aux politiques départementales et communales, comme l’illustre par exemple son article dédié à la situation économique de l’agriculture dans les Pyrénées-Atlantiques au regard de la crise sanitaire.

On y apprend également que les Landes se hissent à la deuxième place des départements en matière d’équipements photovoltaïques, avec l’ambition d’une consommation d’énergie verte à 100% d’ici 2030.

Le site d’informations locales n’oublie pas pour autant de s’intéresser à l’actualité sportive, aux évènements culturels et même aux idées de sorties.

Chaque sujet fait l’objet d’un article fouillé, permettant une information de qualité, sans cesse renouvelée. Le défi est d’autant plus fort que la consultation de PresseLIb’ est entièrement gratuite.

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